2 réponses à “”

  1. Revoir certaines des photos qui ornaient le salon de coiffure de votre père (celle où il est suspendu en l’air lors d’un coup de pied) me rappelle qu’il aura été mon premier professeur d’arts martiaux.
    Je me souviens aussi de celle où il touche un pratiquant assis sur les épaules d’un autre .
    Je l’entends encore appeler (si je ne dis pas de bêtises) Michel Defendini par un de ces « Pharmacien » lors d’un petit bobo à l’entraînement et parfois terminer par un « c’est le métier qui rentre ».

    RIP M. Sisti.

    • Très émue par l’évocation de vos souvenirs exprimés avec tant de sensibilité, finesse, précision. Vous rendez mon père tellement vivant par ce portrait que vous brossez de lui, plein de justesse, sens de l’observation fidèle et sincère. Cela lui ressemble, c’est tout mon père : professionnalisme conjugué à l’authenticité, simplicité. A travers vos mots, je crois l’entendre encore. Sa voix déterminée et optimiste. Les photos qui « ornaient  » le salon de coiffure, j’atteste cette habitude, c’était une de ses fiertés. Fierté chèrement acquise, basée sur un travail exigeant. Qu’il fut votre premier professeur d’arts martiaux, en le disant, vous lui rendez un insigne hommage. Merci infiniment. Jeanne-Grace SISTI

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